- LABARUMDegré sur le forum : 33ème - Souverain Grand Inspecteur Général
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Date d'inscription : 19/08/2008
RL La Bienveillance, poésie en l'honneur du départ de Marconis de Nègre
Dim 21 Sep 2008, 02:46
LES MEMBRES COMPOSANT LA RL . LOGE DE LA BIENVEILLANCE,
AU T.-. ILL.-. F.-. MARCONIS DE NЕGRЕ.
Au ciel le plus serein, aux plus riante « plages,
Il s'amoncèle aussi des voiles de nuages! »
Ils étaient beaux, bien beaux, ces peu de jours
passes Dans d’arides sentiers nouvellement traces,
par une main qui sait extirper les bruyères. Allumer dans la nuit le flambeau des lumières; Honneur au noble frère, honneur à Marconis Qui venait nous ouvrir le temple de Memphis.
Quelle est de l’homme ici la haute destinée !
Il travaille sans cesse, et l’œuvre terminée,
Au lieu de réjouir ses yeux aux fraîches fleurs,
Il lègue à d’autres mains le fruit de ses labeurs.
Du matin à la nuit, le sage ainsi travaille.
Et ne regarde pas si l’égoisme raille.
Derrière son enseigne il dit : Chacun pour soi,
Le sage Frère dit : Au monde je me dois.
Du pôle Sud au pôle Nord, du Nil aux Pyrénées,
Les âmes de deux liens se sentent enchaînées ;
Il n’est plus de distance, il n’est plus de fierté,
La devise du monde est la fraternité.
Du Danube en fureur à la riante Seine,
Tout est commun, partout, le plaisir et la peine,
Que le plus pur bonheur accompagne vos pas,
Mon Frère en nous quittant, ne nous oubliez pas.
Acceptez pour adieu notre reconnaissance,
Et revenez un jour voir la bienveillance
Par mandement de la R loge
Glodin, Secrétaire de l’académie royale de musique de Bruxelles.
AU T.-. ILL.-. F.-. MARCONIS DE NЕGRЕ.
Au ciel le plus serein, aux plus riante « plages,
Il s'amoncèle aussi des voiles de nuages! »
Ils étaient beaux, bien beaux, ces peu de jours
passes Dans d’arides sentiers nouvellement traces,
par une main qui sait extirper les bruyères. Allumer dans la nuit le flambeau des lumières; Honneur au noble frère, honneur à Marconis Qui venait nous ouvrir le temple de Memphis.
Quelle est de l’homme ici la haute destinée !
Il travaille sans cesse, et l’œuvre terminée,
Au lieu de réjouir ses yeux aux fraîches fleurs,
Il lègue à d’autres mains le fruit de ses labeurs.
Du matin à la nuit, le sage ainsi travaille.
Et ne regarde pas si l’égoisme raille.
Derrière son enseigne il dit : Chacun pour soi,
Le sage Frère dit : Au monde je me dois.
Du pôle Sud au pôle Nord, du Nil aux Pyrénées,
Les âmes de deux liens se sentent enchaînées ;
Il n’est plus de distance, il n’est plus de fierté,
La devise du monde est la fraternité.
Du Danube en fureur à la riante Seine,
Tout est commun, partout, le plaisir et la peine,
Que le plus pur bonheur accompagne vos pas,
Mon Frère en nous quittant, ne nous oubliez pas.
Acceptez pour adieu notre reconnaissance,
Et revenez un jour voir la bienveillance
Par mandement de la R loge
Glodin, Secrétaire de l’académie royale de musique de Bruxelles.
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